Si le cas de Suzuki semble sur une voie de règlement, il en est autrement pour les autres marques (Volkswagen, Hyundai et Kia), qui se sont retrouvées en plein dans des scandales judiciaires qui avaient défrayé la chronique par l’ampleur des dégâts et des pertes occasionnés au Trésor public.
C’est Volkswagen avec ses marques dont le représentant de toujours, en l’occurrence le groupe Sovac, se verra, dès le mois de mars prochain, libéré du contrat de représentation qui le liait jusque-là aux Allemands.
La course à son remplacement a été lancée depuis plusieurs mois et la discrétion semble toujours de mise sur les tenants et les aboutissants de cette épreuve déterminante pour le label germanique.
De son côté, le sud-coréen Hyundai, qui avait lui aussi fait le choix de changer de représentant en 2016, se retrouve dans une situation des plus improbables.
Ses deux partenaires pour le projet d’assemblage, Tahkout pour les véhicules particuliers et GMI pour le véhicule lourd et utilitaire, ont été condamnés par la justice pour plusieurs griefs et manquements à la réglementation.
Une indisponibilité qui amène le constructeur, qui a su, plusieurs années durant, s’imposer comme première marque en Algérie, à reconsidérer sa stratégie sur le marché local.
Si pour l’heure, peu d’informations ont circulé à ce sujet, on peut, néanmoins, rappeler que le patron de Hyundai Motors Algérie (HMA), Omar Rebrab, concessionnaire historique de la marque, a publiquement exprimé sa volonté de reprendre sa place comme représentant officiel de Hyundai en Algérie.
B. Bellil Le Soir d’Algérie
Le peuple veut le prix du vehile le moins cher possible n oubliez pas la voiture taع ezzaouali