Comme il fallait s’y attendre, les kits SKD et CKD importés destinés pour l’assemblage des véhicules automobiles en Algérie seront dorénavant taxés à hauteur de 19%, selon la loi de finances complémentaire 2018 approuvée par le Conseil des ministres, réunit mardi après-midi sous la présidence du président de la République Abdelaziz Bouteflika.
Une taxe qui devrait se répercuter sur le produit final et donc payable par le client, soit une augmentation significative du prix des véhicules made in Bladi.
Les prix des voitures MIB, pour rappel, sont déjà considérés élevés notamment depuis la publication des prix sortie d’usine des véhicules assemblés localement.
Une campagne de boycott a d’ailleurs été lancée depuis des semaines.