Une délégation du constructeur japonais de poids-lourds, Hino, du groupe Toyota, inquiet sur ses affaires qui régressent en Algérie depuis quelques années, a dépêché une délégation d’inspection de deux jours, mercredi et jeudi.
Représenté par Toyota Algérie du groupe saoudien Abdelatif Jamil, Hino tarde à concrétiser son projet industriel, annoncé depuis des années, en raison de la conjoncture actuelle du marché automobile algérien.
En plus du retard accusé dans la réalisation du projet, Hino perd beaucoup d’argent avec l’arrêt des importations et la compression du personnel ainsi qu’un avenir incertain pour ses affaires.
Toyota Algérie, pour rappel, avait lancé plusieurs opérations de compression des employés pour alléger les charges devenues très lourdes à supporter.