Rien ne va dans l’automobile en Algérie depuis ces dernières années. Le secteur meurt à petit feu. Et pour cause, des centaines de points de vente sont fermés à travers le territoire national en raison du blocage que connait le marché depuis 2015 avec l’interdiction des importations.
La zone d’activité d’El-Kerma, à Oran, dédiée exclusivement aux concessionnaires automobiles, devenue une zone fantôme, symbolise parfaitement la situation du marché.
De grands espaces des concessionnaires qui représentaient il y a quelques années les vitrines des grands constructeurs automobiles sont aujourd’hui à l’abandon, devenus vides.
Des milliards de dinars d’investissement gâchis, des centaines d’employés mis au chômage et des infrastructures à l’abandon. Voilà qui reflète parfaitement la situation du marché automobile.
Parallèlement à cette situation critique, l’Etat avait adopté une nouvelle politique industrielle avec l’ouverture des usines de montage automobile ; des investissements qui pourraient également connaître le même sort dans quelques années à cause de l’absence d’une stratégie d’une politique à long terme, mais de l’emprisonnement des patrons des usines.
Le secteur automobile ne peut que fleurir en Algerie , malgres les embûches.
Les marques sérieuses bénéficiant de gestion scientifique ne seront pas touchées par l’irrégularité du marché , due à la mauvaise gestion des hommes politiques ayant gouvernés ces dernières années.
Si nous prenons a titre d’exemple la marque au losange , nous avons enregistrés une campagne de mensensonges , de critiques infondées et injustifiées , de pratiques malhonnêtes des trabendistes et particulièrement l’association des ex concessionnaires toutes marques , sous le patronage d’un président rancunier , haineux , qui a déployé des efforts monumentaux avec l’aide de certaines chaînes de télévision s privées avides de rentrées financières , dans le but de discréditer les véhicules produits à pied Tlilet , Oran , et spécialement la Renault symbol , adoptée par le co amateur Algerien de la classe moyenne , il sont allés jusqu’à s’acheter une et la brûler sur l’autoroute , tout près de l’usine d’assemblage à oued tlilet et l’autre du côté de Blida , mais sans succès.
Cette voiture a montré sa fiabilité , sa notoriété , sa sécurité.
Ceux qui craignent et qui sont menacées de disparaître , sont les marques produites par des privés , pas très sûres , pas très fiables , qui existent à l’aide de la corruption et de soutient d’hommes politiques véreux.